Je ne photographie pas un mariage pour ce qu’il doit être.
Je le photographie pour ce qu’il est — vivant, imparfait, vibrant.
Un mélange de regards, de gestes discrets, de tensions, de joie brute. Des gens qui s’aiment, qui se retrouvent, qui se dévoilent.

Ma démarche est celle d’un photographe documentaire : je capte sans interrompre.
Je cherche ce qui échappe aux scripts :
la main qui tremble avant de dire oui,
le rire nerveux d’un témoin,
la tendresse d’un parent qui observe à distance,
ou ce moment de silence entre deux musiques.

Ce que j’offre, ce ne sont pas des images parfaites.
Ce sont des souvenirs fidèles.
Des images vraies, qui traverseront le temps.